Il était une fois, en l'an deux mille dix,
Des jeunes Troubadours,
écrivains en service.
Ils se sont fédérés, sans
aucune manière,
Pour vous apporter joie
et surtout vous distraire.
Des saynètes ont écrit,
partout les ont jouées,
Elles parlent d'un temps
où le Roi est comblé,
Les Puissants adulés et
les Gueux exploités.
Parcourant les contrées
jusqu'au bout du royaume,
Pour le plus grand
plaisir des vilains et des gnomes.
Ils parlent de la vie, de
la nature humaine,
Justice, religion,
surtout vie quotidienne.
Un moine et sa Meschine,
aussi des lavandières,
Un arracheur de dents qui
devant vous opère,
Vous verrez tout cela et
bien d'autres sorcières
Si vous sollicitez, nous,
les Gueux de l'Ostière !
Allez, c'en est fini, il
faut que je vous quitte,
Car la scène m'appelle et je joue tout de suite.
Frère Jean